Si j’avais repoussé toute pensée me liant au 12 janvier 2010, Makenzy Orcel, lui, avec son rappel malvenu, m’a déprimée pendant environ une heure. Cependant, quand une lecture m’intéresse, je ne m’arrête pas à la quatrième de couverture. Les immortelles, un roman avec une présentation sortie tout droit d’un recueil de poèmes. Une confession assez poignante qui m’a permise en l’espace d’un moment, malgré le vent de rancoeur qui secouait les feuilles des arbres et le soleil qui battait le toit, de me voir comme un identifiant. Ces putes, ces immortelles qui rôdent un peu partout, celles qui se font baiser. J’ai particulièrement aimé la manière dont est racontée l’histoire…
Carlile Perrin / www.carlileperrin.com