«Le crime de l’Orient Express » d’Agatha Christie fait partie de la longue liste de livres qu’il faut absolument lire avant de mourir. Hercule Poirot, en Syrie, se repose à la suite d’une affaire quand il reçoit un télégramme lui intimant l’ordre de retourner à Londres. Le détective belge monte alors à bord d’un train, l’ Orient Express. Souhaitant faire un peu de tourisme, il refuse de veiller à la sécurité d’un des passagers.

Carlile Perrin / CabePhotography

Dès la première nuit, un meurtre a été orchestré et Poirot avec l’aide de son ami M. Bouc et le docteur Constantine se mêle de la partie afin de trouver le coupable.

Ratchett comme il se fait appeler dans sa deuxième vie, avait été tenu responsable du kidnapping et de l’assassinat de Daisy des mois plus tôt, une fillette américaine. Un crime qui a eu de lourdes conséquences car sa mère, son père et sa nounou avaient abandonné la vie.Ratchett, auparavant connu comme Cassetti a été blessé mortellement de douze coups de couteaux, les uns différents des autres : il n’était plus question d’un coupable. Chacune des personnes voyageant dans l’Orient Express détenait un lien particulier avec la famille américaine, malheureuse victime de la bande à Cassetti. Il y en a qui était des amis, employés, parents…

Tous nourrissaient le même sentiment de vengeance, tous avaient frappé sauf une des treize.Poirot, après avoir résolu les énigmes se trouve impuissant à cause de la manière et la raison dont a été commis le crime. Il se démet de ses fonctions en tant que chargé de l’affaire et étouffe la vérité.

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